Nous quittons le refuge d'Espingo par le val d'Arrouge, passons au sommet du Hourgade avant de descendre aux Lacs de Nère et de rejoindre le Couret d'Esquierry puis les granges d'Astau.

 

La pluie tombe jusqu'en fin de matinée. Vers 11 heures, nous partons sur le GR10 jusqu'à la Hourquette des Hounts-Secs et le Cap de Bassieret. Cette journée aura permis aux organismes de se reposer un peu.

 

Montée au Perdiguère, puis retour par les crêtes : Pic Royo, Pointe de Litérole, Col de Litérole inférieur. Passage au refuge du Portillon pour récupérer des affaires et descente à Espingo.

 

Le gros morceau du séjour. Nous sommes passés côté sud par le port d'Oo. De l'autre côté nous avons longé la paroi dans les restes très instables d'une avalanche énorme de cailloux (il vaut mieux passer plus bas dans le pierrier).
Nous sommes ensuite montés entre l'Arlaud et les Gourgs Blancs : 60 mètres pendant lesquels les risques de chute de rochers sont importants, à éviter quand on est nombreux.

 

Brouillard sur le Portillon. Nous partons pour essayer de monter au Gourdon. Nous y arriverons et descenderons au lac Glacé. 3 d'entre nous iront au sommet des Spigeoles. Retour au refuge par le Chemin des mineurs.

 

Montée au refuge du Portillon depuis les Granges d'Astau.

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Dernier tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 22 août 2009, nous sommes partis d'Eyne et avons terminé à Banyuls.
La chaleur nous a fait souffrir !

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

Quatrième tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 16 au 24 août 2008, nous sommes partis d'Alos d'Isil pour arriver à Font Romeu.

 

5 pics à plus de 4000m en huit jours ! Bravo !

 

Col de la Bonaigua - Alos de Isil, par le Col de l'Estany Pudo, l'Estany de Garrabea, l'Estany Superior del Rosari, Airoto et le Col del Clot de Moredo.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Refuge de la Restanque - Col de la Bonaigua, par le Coret d'Oelhacrestada, le Port de Caldes, le Refuge de Colomer et le Col de Pischader.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Hospital de Vielha - Refuge de la Restanque, par le Col de Rius. Etape écourtée pour cause de pluie et brouillard, dommage pour les lacs que nous n'avons pu voir.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Refuge de la Rencluse - Hospital de Vielha, par le Col de Mulleres.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Refuge du Portillon - Refuge de la Rencluse par le Col inférieur de Litérole, la Vallée de Remuñe et le Plan del Espital. Journée très difficile à cause de la neige et du froid.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Refuge de la Soula - Refuge du Portillon par le lac de Caillauas, les Gourg Blancs et le Tusse de Montarqué.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Viados - Refuge de la Soula Par la vallée d'Anescruzes et le col d'Aygues Tortes.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Parzan - Viados par la vallée d'Urdizeto puis le Paso de los Caballos.

3ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 18 au 25 août 2007, nous sommes partis de Parzan pour arriver à Alos d'Isil.

 

Refuge de Pineta - Parzan : par le refuge de Larri, le GR11 (début de la sierra de l'Espierba entre Pietramula et Comodoto) et descente sur Parzan.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Refuge de Goriz - refuge de Pineta : par le col de Goriz et le col d'Anisclo par la vire.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

San Nicola de Bujaruelo - refuge de Goriz : par Garganta de Navarros et la vallée d'Ordesa par le GR11.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Banos de Panticosa - San Nicola de Bujaruelo : par le col de Brazatto et la vallée d'Ara.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Refuge d'Arremoulit - Banos de Panticosa : par le col d'Ariel, Respumoso, le col de Piedrafita, le col d'Enfer, les lacs Azules.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Refuge d'Ayous - Refuge d'Arremoulit : par le lac Bersau, le lac Casterau, le col de Peyreget, le refuge de Pombie, la caillou de Soques, le col d'Arrious, puis le passage d'Orteig.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Etsaut - refuge d'Ayous : par le GR10 (chemin de la mature), puis le Col d'Ayous. Nous en avons profité pour passer la le pic du même nom avant de descendre au refuge, d'où l'on peut admirer l'Ossau au coucher de soleil. Une des vues les plus connues des Pyrénées.

2ème tronçon de cette traversée commencée en 2005.
Du 21 au 27 août 2006, nous sommes partis d'Etsaut pour arriver à Parzan.

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Le 04 Mai 2006 entre 11h30 et 12h00, 16 montagnards du Club Alpin Français de Bagnères de Bigorre foulaient de leurs crampons le toit de l’Europe : le sommet du Mont-Blanc = 4807m !

Partis à 01h30 du refuge des Grands Mulets (3051m) skis aux pieds ils progresseront ensemble sous une nuit étoilée au rythme du crissement de leurs couteaux sur la neige encore glacée et du battement de leur cœur excité par le manque d’oxygène et le bonheur d’être là, au-dessus des lumières de Chamonix.

L’allure sera régulière, les repos bien placés, mais les écarts se creuseront, sans jamais mettre une cordée en danger d’isolement, en fonction des tracasseries matérielles (ah, ces peaux de phoque !), des fautes techniques et des capacités énergétiques de chaque individu.

L’arrivée au sommet fut échelonnée, à la descente les cordées se croisèrent et s’encouragèrent mutuellement et le groupe se reforma au refuge-bivouac Vallot (4362m) où les alpinistes redevinrent skieurs et dévalèrent en toute sécurité les 1300m qui les séparaient d’une bonne bière au refuge des Grands-Mulets.

Mais si la montagne est un lieu de bonheur elle réserve toujours sa part de douleur. Cette dernière se traduisit pour deux d’entre nous par une violente crise d’épuisement due à l’altitude qui nous amena, avant de rechausser les skis car descendre à ski à cette altitude demande une pleine possession de ses moyens physiques, à faire appel aux secours héliportés du PGHM de Chamonix dont l’efficacité et la gentillesse apportèrent un grand réconfort à nos deux compagnons et à tout le groupe.

Encore bravo à Isabelle, Alain, Jean-Claude, Jean-Marie, Jean-Luc, Christian, Paul, Jean , Marcel, Henri, Benoît, Laurent, Péyotte, Pierre, Romain, et une mention particulière à Jean-Louis qui fêta ses 52 ans au sommet ! Beau cadeau !

Prochain cadeau : un Mont qui devrait changer de couleur : de Blanc il passerait au Rose !

Jean-Marie

 

Acclimatation avant d'attaquer le Mont-Blanc.

 

Acclimatation avant d'attaquer le Mont-Blanc.

 

Acclimatation avant d'attaquer le Mont-Blanc.

 

Ste Engrace - Laberouat et Lescun : par le Col d'Anaye et le plateau de Sanchez. Etape de 20,5km et 1600m de dénivelé. Transfert de Labérouat à Lescun en voiture.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Chalets d'Iraty - Ste Engrace : journée débutée par 10km de route jusqu'à Larrau, puis Logibar, les gorges d'Olhadubi, Kakueta, pour finir par 6km de route. Etape très longue de 38,5km et 1300m de dénivelé.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Béhérobie - Chalets d'Iraty : journée sous la pluie par le pic d'Occabé, les cormlech d'Occabé, le chalet Pedro. Etape de 28,5km, 1650m de dénivelé.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Les Aldudes - Béhérobie : par le Col d'Ibaneta, le Col d'Arnosteguy et le Col d'Orgambide. Etape de 31,5km, 1450m de dénivelé. Nuit à l'Hôtel des Berges de la Nive où nous seront reçus comme des malpropres.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Bidarray - Saint Etienne de Baygorri : par le Pic d'Iparla. Transfet en voiture aux Aldudes (15km) pour éviter de marcher sur le goudron. Etape de 17,5km, 1200m de dénivelé.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Ainhoa - Bidarray : par le GR10, 19km, 770m de dénivelé.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.

 

Biriatou - Sare : 24km, 1200m de dénivelé, par Ibardin, la Rhune, puis transfert Sare-Ainhoa en voiture (10km). On est vaillant au CAF de Bagnères, mais marcher sur le route c'est pas notre truc ! Temps très chaud. Le soir camping à Dancharia avec bon orage.

Premier tronçon de cette traversée qui durera 5 années pour arriver à Banyuls.
Du 16 au 22 août 2005, nous sommes partis de Biriatou pour arriver à Lescun.